À MON… ENSORCELEUSE !
À MON…
ENSORCELEUSE !
J’ai vécu en Tes Yeux ces myriades jolies
Qui jadis m’offrirent en arcanes d’envies
Les fruits de « Ta Beauté » éblouissant Ma Vie,
Dont Son Astre, « Ta Fleur », qui Entier M’a Cueilli.
Ce fut un jour d’Extase pour Mon Désir Joufflu ;
Mon corps s’y est ouvert, offrant Mon Âme Nue
Aux vagues incendiaires de frontières inconnues
Me Noyant en Ta Mer… Que je n’oublierais plus.
Nous fûmes ces amants sertis de Leurs Diamants,
Qui défrichèrent « Leur Graal » avec Nos Yeux d’Enfants,
En Arcanes de feux aux si Troublants Tourments…
Qu’ils étreignirent Leurs Flammes « De Nos Consentements ».
L’air s’était embrasé, Belle fut Notre Couche ;
Et ces mille baisers que butinèrent nos bouches,
Plus que jamais ardentes, se dévorèrent, farouches,
Lors Nos Corps au repos s’enlacèrent sous la douche.
Ton Regard, Cette Heure-Là, s’est gravé en Ma Vue ;
Il demeure pour Moi, « Ce Bonheur Absolu »,
Fruit Mûr de Cet Amour liant Nos Êtres Émus,
Qui dédièrent à Vénus… « Leur Jouissance Crue ».
Depuis, est souverain étreignant « Tes Soupirs »,
En moi que tu fécondes, « Ton vibrant Souvenir » ;
Le jour, en heures heureuses, soies de « Mon Devenir »,
La nuit en mon sommeil, ivre de « T’accueillir ».
De Ton art Tu composes « Cette Toile Précieuse »,
Où s’évade mon corps en odes « Licencieuses »
Qui encore et toujours, enlacent, « Délicieuses »,
Ton Cœur à l’Âme Lyre… Ton Corps « D’Ensorceleuse ».
Ainsi suis-je pour « TOI » :
Sens dessus dessous,
Baisant Tes yeux, Tes lèvres et Ton cou,
Tes seins, Ton Doux Minou…
Où « L’Amour » me dissout.
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