Ô ! MA SIRÈNE, TON CHANT…
Ô ! MA SIRÈNE, TON CHANT…
Au moelleux de tes cuisses, céans,
Là où luit l’huis béant,
Ardent amant je me repais
De la folie de tes attraits ;
En ses senteurs capiteuses,
De ta rosée licencieuse,
Galant, j’enivre mon désir
Au puits fervent de ton plaisir.
Ô Fleur du mâle, enchanteresse ! Ta corolle tantale,
Jouissance infernale de femelle fatale,
Me soumet tout entier à ta concupiscence,
À ta luxure innée des sens.
Mes lèvres oublient sur ta peau nue
Toute décence saugrenue.
Ingénue, ma bouche à ta bouche va boire,
De l’amour charnel, ton envoûtant nectar.
Sur tes seins érigés en mamelons mutins,
Et sur tes reins cambrés, ballerines, mes mains…
Ô ! Divine Messaline, dentellière de l’émoi,
Houle voluptueuse où mon sexe est… Ton choix,
Sirène feux des chants du soir,
Lors je succombe à tes appâts, à ton pouvoir,
Quand ton sexe est mon roi,
Tout à ton art félin, grivois je suis à Toi.
En tes abysses lupanars,
Sirène feux, troublante voix,
Vague d’espoir…
Entraîne-moi.
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