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PRÉMISSES… À TA MESURE !

Ô, Mon Amour ! Mon Aimée !

Oui, Toi ! Entre Mes bras, entrelacée,

Je vis l’Extase en Ta Blessure,

Lors… Tu jouis à Sa Mesure.

Si dépouillé de mes armures

J’Aime T’Aimer en Démesures

Pour Toujours mieux T’accompagner

Sur les voies flots de Ta Beauté.

De Cette beauté Folle Follement espérée

Qui émane de TOI, et tant sait M’enlacer

Alors que Mon Émoi, oubliant Ses pudeurs,

Courtise Ton Acmé pour y noyer Mes heures.

Ainsi, puisque je rêve, ici, Tu peux me le permettre,

Je sais fondre pour Toi en déliés de lettres

Sous Ton regard, ému parfois, qui tout là-bas les boit,

Avant qu’au plus Intime, en Ton Âme et pour Moi,

Amantes elles Te lutinent,

Ivres et Libertines,

Jusqu’au faîte des Joies

De leur Tendre trépas.

Ainsi suis-je pour Toi, ce compagnon lové

Qui tête Son Bonheur à Ton doux Gynécée,

Et, mâle en Ta Chaleur, je T’offre ainsi Ma Vie,

Qui Te caresse, ici, de Leurs Tendres Folies.

Or, si l’image est Belle,

Ce n’est pas grâce à Elles,

Mais à Ta Grâce à TOI,

Qui Tant, Moi, M’ensorcelle,

Ô, Ma Reine !

Souveraine Absolue de mon Plaisir de Roi,

Qui, lors Tu me lis gémis, centuplant Mon Émoi

Qui tant m’emplis de Toi en Mon âme Charnelle,

Mon Cœur qui T’appelle, et Mon Corps qui Te Hèle.

Alors, enfin, je peux Jouir « Amant »

En Mon Délire de Prétendant

Qui Tant T’enlace en Majuscules,

En Traits d’Union, Chaudes Virgules,

Et Verbes… Aimant !