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FEMME, LIBRE MAÎTRESSE…

Libre de corps et d’âme,

Tu conjugues Ta Vie

Telle une comédie

Qui brûle de Ta Flamme

À ainsi être « Femme » !

Et, sur Ton Ciel de lit,

Ton amant qui jouit

Se libère de ses drames.

Lui offrant l’absolu,

Tu n’es que séduction,

Éveils de passions…

Pulsionnelles en ses nues.

Or, plus qu’en Ta Chair encore,

Ce sont Tes Yeux, Profonds

Où son extase fond,

Qui enivrent son corps.

C’est de Ta Liberté

Que tu sais le séduire,

Noyant en Ton Plaisir

Sa propre volupté.

Femme Fleur, Incendiaire,

Tu brûles, Souveraine,

Ses vies passées, prochaines,

En Tes Luxures Princières.

Lors Ton Cœur s’ennuie,

Tu penses à Cet Amour

Aux Éternels Atours,

Qui pare Tes jours, Tes nuits.

Et vibre Ton Aura,

Où Ce Regard de l’homme

Y oublie ses pensums,

Frémissant en Tes Bras.

Ainsi, en Tes Conquêtes,

Goûtes-tu Ce Nectar

Te gorgeant Du Pouvoir…

De la Femelle en Quête.

Puis, Ton Désir Vainqueur,

Lors il a terrassé

De caresses osées

Tout dogme réducteur,

Tu T’offres à Cette Envie

Sans cesse Renaissante,

De Plaire, Évanescente,

À Tes mâles… Choisis !

Amante Flamme, Félicité,

Ton âme parturiente,

Se lie, concupiscente,

À Ton corps immolé

Sur l’Hôtel de Tes Sens,

Et, pour le Bonheur des dieux

Rayonne jusqu’aux Cieux,

Si Belle… En Ton Essence !

Libre de corps et d’âme,

Tu conjugues Ta Vie

Telle une comédie

Qui brûle de Ta Flamme

À ainsi être « Femme » !

Et, sur Ton Ciel de lit,

Ton amant qui jouit

Se libère de ses drames.