DE TON TRÈS BEAU POÈME...
DE TON TRÈS BEAU POÈME…
De ton très beau poème
Lors je le découvrais
Une émotion naissait,
Était-ce bien la même ?
Une larme a coulé.
Elle sourd de ma paupière,
Mais elle n’est pas amère,
Juste un peu plus salée
Que beaucoup de ses sœurs.
Diamant de tes pensées
Elle aime à scintiller,
Aux rives de mon cœur.
Ainsi de lire tes mots
M’est toujours un bonheur,
Il chérit mes heures,
Me sauve du billot.
Une cloche résonne, oui !
Sa musique m’emporte,
Amie, jusqu’à ta porte,
Et là, elle te chérit,
Afin que de la sorte
Ce temps empoisonné
Qui t'avait crucifiée,
Résonne d’autres notes
Que de celles d’un glas
De souffrance acérée,
Afin de la chasser,
Et de choyer tes pas
En ce jour qui s’éveille,
Bourreau de ce trépas
Qui ne mérite pas
L'honneur de Ta treille,
Mais invite pour toi
En son don généreux
L’espoir dans Tes yeux,
La chaleur de sa joie
Pour enlacer tes cieux
De Muse majuscule
Aux tendres ventricules
Rythmant Ton merveilleux.
C'est, ainsi que tu brilles,
Belle de mes matins,
Que ta chaleur me ceint
Souveraine et sans grille,
Quand ton sourire mutin
Sur tes lèvres s'irise,
Et parfois m'électrise,
Aux vents de Ton destin
Dentelé de surprises
Et de bonheur bien plein
Aux détours séraphins…
Chassant Tes heures grises.
Toujours, ta poésie
En ma maison lointaine
Est si belle sirène,
Qu'elle insufle à ma vie
Ce souffle de la tienne...
Où je me réfugie.
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